Et puis, un jour, j’ai fermé la porte à clé…

Et puis, un jour, j’ai fermé la porte à clé…  

Il y a 15 ans, j’ai rencontré mon mari. Nous avons franchi les différentes étapes que la Vie nous a réservées avec plus ou moins de difficultés. Petit à petit, notre foyer est devenu une famille. Une merveilleuse famille ! Notre petite barque est devenue un grand paquebot de croisière. Nous avançons au rythme du travail, des enfants, du temps qui passe… Malgré quelques petites tempêtes, nous nous en sortons pas mal.

Heu… Attendez… Je me relis…  » Nous avançons au rythme du travail, des enfants, du temps qui passe… »… Le temps qui passe ? Travail ? Enfants ? Métro-boulot-dodo ! Ha oui, mais non ! Est-ce la Vie que nous voulions ? OUI, bien sûr ! Une famille, des rires d’enfants, des jouets qui trainent… Mais,  » Nous avançons au rythme du travail, des enfants, du temps qui passe… »

Depuis quelques mois, force est de constater que les capitaines du navire perdent un pied et que le paquebot n’avance plus très droit. « Nous avançons au rythme du travail, des enfants, du temps qui passe… ». Nous avançons, mais de plus en plus lentement, avec de moins en moins de spontanéité…

Il y a quelque chose qui s’est insinué dans les rouages de notre paquebot, de manière insidieuse, petit à petit… Comme de la rouille qui ronge le mécanisme. Cette rouille, c’est tout simplement la fatigue ! Cette fatigue entraine une baisse d’énergie, de motivation, de spontanéité…

 

« Nous avançons au rythme du travail, des enfants, du temps qui passe… »

 

Je suis bien consciente de cette difficulté pour bon nombre d’entre nous. Je l’observe, que ce soit dans ma vie privée ou professionnelle. Cette fatigue récurrente, constante… Cette sensation que le temps passe trop vite, que nous ne maitrisons plus rien. Telle des super héros, nous continuons à avancer au rythme du… Vous avez compris !

Quel est donc cette nouvelle maladie qui vient nous pourrir ? Il s’agit tout simplement de la charge mentale. Je vous conseille la lecture du livre de Marie-Laure Monneret : « Exit la charge mentale », aux Editions First. Elle définit cette charge mentale comme étant :  » […] la charge cognitive que représente pour les femmes la gestion au quotidien du foyer, charge qui les suit même quand elles sont au travail. Leur cerveau est complétement sollicité, voire parasité, par la responsabilité de planification, de gestion et d’organisation qui leur incombe. […] Ainsi, les femmes profitent de chaque moment de répit dans la journée pour prendre rendez-vous chez le pédiatre, complètent leurs to-do lists personnelles pendant les réunions qui s’éternisent. […] Une fois que le foyer devient une famille, la femme se retrouve à devoir gérer l’agenda de chacun, à programmer toutes les tâches à accomplir pour répondre aux besoins du foyer qui se cumulent avec ses préoccupations professionnelles ».

 

Dans ce livre, elle explique l’origine de cette charge mentale, les effets et les conséquences ainsi que 7 clés pour s’en libérer. Et parmi les 7 clés, il y a la notion de prendre du temps pour soi et de gérer son stress, notamment en faisant de la sophrologie ! Génial, n’est-ce pas ?

Aujourd’hui, j’ai vraiment pris conscience de cette importance de me souvenir que, avant d’être une maman, je suis une femme ! Et je vous assure que cela fait un bien fou de prendre du temps pour soi !

 

                Du coup, il m’est venu une idée !  Du coup, j’ai eu envie de vous faire partager mon expérience ! Du coup, j’ai eu l’idée de créer un atelier qui allie la sophrologie et d’autres techniques complémentaires !

 

C’est donc ainsi qu’est né l’atelier « Amazone »

 

Et pour terminer, je confie un secret… Je sais que peu d’entre nous sont tranquilles aux toilettes ou à la salle de bains. J’ai découvert quelque chose de merveilleux qui existe pourtant depuis une éternité : une clé ! Et donc, un jour, j’ai fermé la porte à clé … de la salle de bains !

Avant, j’étais mince et je ne le savais pas…

Avant, j’étais mince et je ne le savais pas !

Par Virginie Aussems … une femme parmi tant d’autres…

 

Avant je me sentais mal dans mon corps, je me voyais grosse ! Aujourd’hui, je me sens bien dans ma tête… mais physiquement, il est évident que j’ai pris du poids !

Faire un régime ???  Trop compliqué !!!  Mais au final, le plus important n’est-il pas de trouver un équilibre entre notre corps physique et notre corps mental ?

En ce qui me concerne, je me suis toujours trouvée grosse. Pourtant quand je regarde les photos d’avant, je me dis que j’étais tout de même bien foutue, si vous me permettez cette expression.

Depuis janvier 2017, je me suis fixée comme objectif de lâcher entre 10 et 15 kilos. Et oui, mes 3 grossesses n’ont pas aidé. C’est plutôt bien parti, bien que certains jours sont plus difficiles que d’autres. Je me fais accompagner par une diététicienne. Ce choix n’a pas été facile.

Si je m’auto-analyse, je me rends compte que cela fait finalement des années que je me bats avec mon image. Quand j’étais jeune, je me trouvais grosse, alors que j’étais mince !  Aujourd’hui,  je me sens bien !  En fait, je me sens réellement  beaucoup mieux. Dans ma tête, je suis même canon. A l’aise dans mon corps, à l’aise dans ma tête… Et puis, je me vois en photo !  Et là, le drame !  C’est qui cette grosse sur la photo ?  C’est moi ?

Il faut bien que je me rende à l’évidence, il est temps de faire quelque chose. Non parce que l’on me le dit, ou parce que le fameux BMI me met en garde. Mais parce que la personne que je vois sur la photo ne correspond pas à l’image de la personne que j’ai dans ma tête. Ou plutôt, la personne que je suis devenue correspond à la personne que je pensais être il y a plus de 10 ans !  Oulala : ça cogite dans ma tête !

Cette prise de poids n’est pas uniquement due à mes grossesses. Il y a quelques années, j’ai été victime de conflits au travail. Ce poids des conflits s’est aussi accumulé dans mon corps… Du poids physique certes, mais également du poids mental. J’ai tenté différents régimes, avec un résultat plus ou moins bon…

Et puis, plus rien. Je peux même m’affamer, je ne lâche plus un gramme. On parle alors de poids mémoire.

Vu que je travaille en sophrologie et en soin énergétique, je fais tout un travail sur moi-même. Seule ou avec des amis praticiens énergétiques. Je prends donc conscience de tout cela, je lâche le poids mental. C’est pour ça que je me sens finalement bien.

Il ne me reste plus qu’à retrouver cette harmonie entre mon corps mental et mon corps physique. C’est comme cela que je rencontre ma diététicienne qui m’accompagne dans ce changement. En route donc pour une alimentation plus saine. Et ça fonctionne. Mais je sais que le travail est encore long. Et seule, c’est encore plus long.

 

Du coup, il m’est venu une idée !  Du coup, j’ai eu envie de vous faire partager mon expérience !  Du coup, j’ai eu l’idée de créer un atelier qui allie la sophrologie et d’autres techniques complémentaires  !

 

C’est donc ainsi qu’est né l’atelier « Miroir, ô miroir, dis-moi qui est la plus belle ! »